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Mise à jour en version 9.0.18
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gleu committed Jul 26, 2014
1 parent 03de8b4 commit 3851d71
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Showing 9 changed files with 734 additions and 59 deletions.
27 changes: 16 additions & 11 deletions postgresql/catalogs.xml
Original file line number Diff line number Diff line change
Expand Up @@ -6763,18 +6763,23 @@ lourd ! -->
</para>

<para>
La colonne
<structfield>pid</structfield> peut être jointe à la colonne
<structfield>procpid</structfield> de la vue
<structname>pg_stat_activity</structname> pour obtenir plus
d'informations sur la session qui détient ou attend un verrou.
La colonne <structfield>pid</structfield> peut être jointe à la colonne
<structfield>procpid</structfield> de la vue <link
linkend="monitoring-stats-views"><structname>pg_stat_activity</structname></link>
pour obtenir plus d'informations sur la session qui détient ou attend un
verrou, par exemple&nbsp;:
<programlisting>SELECT * FROM pg_locks pl LEFT JOIN pg_stat_activity psa
ON pl.pid = psa.procpid;</programlisting>.
De plus, si des transactions préparées sont utilisées, la colonne
<structfield>transaction</structfield> peut être jointe à la colonne
<structfield>transaction</structfield> de la vue
<structname>pg_prepared_xacts</structname> pour obtenir plus d'informations
sur les transactions préparées qui détiennent des verrous. (Une
transaction préparée ne peut jamais être en attente d'un verrou mais elle
continue à détenir les verrous qu'elle a acquis pendant son exécution.)
<structfield>virtualtransaction</structfield> peut être jointe à la colonne
<structfield>transaction</structfield> de la vue <link
linkend="view-pg-prepared-xacts"><structname>pg_prepared_xacts</structname></link>
pour obtenir plus d'informations sur les transactions préparées qui
détiennent des verrous. (Une transaction préparée ne peut jamais être en
attente d'un verrou mais elle continue à détenir les verrous qu'elle a acquis
pendant son exécution.) Par exemple&nbsp;:
<programlisting>SELECT * FROM pg_locks pl LEFT JOIN pg_prepared_xacts ppx
ON pl.virtualtransaction = '-1/' || ppx.transaction;</programlisting>
</para>

</sect1>
Expand Down
45 changes: 27 additions & 18 deletions postgresql/config.xml
Original file line number Diff line number Diff line change
Expand Up @@ -559,6 +559,15 @@ include 'nom_fichier'
<productname>Bonjour</productname>.
Ce paramètre ne peut être configuré qu'au lancement du serveur.
</para>

<para>
Ce paramètre n'a pas de sens sur certains systèmes, notamment Solaris
depuis la version 10, qui ignore complètement les droits sur les
sockets. Il est possible d'arriver au même résultat en faisant pointer
<varname>unix_socket_directory</varname> vers un répertoire ayant des
droits limités pour une audience particulière. Ce paramètre est aussi
inutile pour Windows qui ne dispose pas des sockets de domaine Unix.
</para>
</listitem>
</varlistentry>

Expand Down Expand Up @@ -3035,11 +3044,11 @@ local0.* /var/log/postgresql
</indexterm>
<para>
Lorsque <varname>logging_collector</varname> est activé, ce paramètre
détermine le répertoire dans lequel les fichiers de trace sont
créés. Il peut s'agir d'un chemin absolu ou d'un chemin
relatif au répertoire des données du cluster.
Ce paramètre ne peut être configuré que dans le fichier
<filename>postgresql.conf</filename> ou indiqué sur la ligne de commande.
détermine le répertoire dans lequel les fichiers de trace sont créés.
Il peut s'agir d'un chemin absolu ou d'un chemin relatif au répertoire
des données du cluster. Ce paramètre ne peut être configuré que dans
le fichier <filename>postgresql.conf</filename> ou indiqué sur la
ligne de commande. La valeur par défaut est <literal>pg_log</literal>.
</para>
</listitem>
</varlistentry>
Expand All @@ -3053,17 +3062,18 @@ local0.* /var/log/postgresql
</indexterm>
<para>
Lorsque <varname>logging_collector</varname> est activé, ce paramètre
indique les noms des journaux applicatifs créés. La valeur est
traitée comme un motif <systemitem>strftime</systemitem>. Ainsi
les échappements <literal>%</literal> peuvent être utilisés pour
indiquer des noms de fichiers horodatés. (S'il y a des
échappements <literal>%</literal> dépendant des fuseaux horaires, le
calcul se fait dans le fuseau précisé par
<xref linkend="guc-log-timezone"/>.)
Notez que la fonction <systemitem>strftime</systemitem> du système n'est
pas utilisée directement, ce qui entraîne que les extensions spécifiques
à la plateforme (non-standard) ne fonctionneront pas.
</para>
indique les noms des journaux applicatifs créés. La valeur est
traitée comme un motif <systemitem>strftime</systemitem>. Ainsi les
échappements <literal>%</literal> peuvent être utilisés pour
indiquer des noms de fichiers horodatés. (S'il y a des échappements
<literal>%</literal> dépendant des fuseaux horaires, le calcul se
fait dans le fuseau précisé par <xref linkend="guc-log-timezone"/>.)
Notez que la fonction <systemitem>strftime</systemitem> du système
n'est pas utilisée directement, ce qui entraîne que les extensions
spécifiques à la plateforme (non-standard) ne fonctionneront pas.
La valeur par défaut est
<literal>postgresql-%Y-%m-%d_%H%M%S.log</literal>.
</para>
<para>
Si vous spécifiez un nom de fichier sans échappements, vous devriez
prévoir d'utiliser un utilitaire de rotation des journaux pour éviter
Expand All @@ -3077,8 +3087,7 @@ local0.* /var/log/postgresql
<varname>log_destination</varname>, <literal>.csv</literal> est
automatiquement ajouté au nom du journal horodaté. (Si
<varname>log_filename</varname> se termine en <literal>.log</literal>,
le suffixe est simplement remplacé.) Dans le cas de l'exemple ci-dessus,
le nom du fichier CSV est <literal>server_log.1093827753.csv</literal>.
le suffixe est simplement remplacé.)
</para>
<para>
Ce paramètre ne peut être positionné que dans le fichier
Expand Down
2 changes: 1 addition & 1 deletion postgresql/datatype.xml
Original file line number Diff line number Diff line change
Expand Up @@ -1569,7 +1569,7 @@ SELECT E'\\xDEADBEEF';
</row>
<row>
<entry><type>interval [ <replaceable>champs</replaceable> ] [ (<replaceable>p</replaceable>) ]</type></entry>
<entry>12 octets</entry>
<entry>16 octets</entry>
<entry>intervalles de temps</entry>
<entry>-178000000 années</entry>
<entry>178000000 années</entry>
Expand Down
11 changes: 8 additions & 3 deletions postgresql/func.xml
Original file line number Diff line number Diff line change
Expand Up @@ -14015,9 +14015,14 @@ off
</para>

<para>
<function>pg_database_size</function> et <function>pg_tablespace_size</function> acceptent
l'OID ou le nom d'une base de données ou d'un
<foreignphrase>tablespace</foreignphrase> et renvoient l'espace disque total utilisé.
<function>pg_database_size</function> et <function>pg_tablespace_size</function>
acceptent l'OID ou le nom d'une base de données ou d'un
<foreignphrase>tablespace</foreignphrase> et renvoient l'espace disque total
utilisé. Pour utiliser <function>pg_database_size</function>, vous devez
avoir l'attribut <literal>CONNECT</literal> sur la base de données indiquée
(qui est donné par défaut). Pour utiliser <function>pg_tablespace_size</function>,
vous devez avoir l'attribut <literal>CREATE</literal> sur le tablespace indiqué,
sauf s'il s'agit du tablespace par défaut de la base courante.
</para>

<para>
Expand Down
16 changes: 7 additions & 9 deletions postgresql/pgupgrade.xml
Original file line number Diff line number Diff line change
Expand Up @@ -258,13 +258,11 @@ gmake prefix=/usr/local/pgsql.new install
<title>Ajustez l'authentification</title>

<para>
<command>pg_upgrade</command> se connectera à l'ancien et au nouveau serveurs plusieurs fois.
Vous devez donc configurer l'authentification à <literal>trust</literal>
dans <filename>pg_hba.conf</filename> ou, si vous utilisez
l'authentification <literal>md5</literal>, configurez un fichier
<filename>~/.pgpass</filename> (voir <xref linkend="libpq-pgpass"/> pour
les détails) pour éviter d'avoir à saisir de façon répétée le mot de
passe.
<command>pg_upgrade</command> se connectera à l'ancien et au nouveau
serveurs plusieurs fois. Vous devez donc configurer l'authentification
<literal>ident</literal> pour les connexions locales via une socket de
domaine Unix ou utiliser un fichier <filename>~/.pgpass</filename> (voir
<xref linkend="libpq-pgpass"/>).
</para>
</step>

Expand Down Expand Up @@ -372,8 +370,8 @@ pg_upgrade.exe
<title>Restaurez <filename>pg_hba.conf</filename></title>

<para>
Si vous avez modifié <filename>pg_hba.conf</filename> pour utiliser
<literal>trust</literal>, restaurez-le à sa configuration d'origine.
Si vous avez modifié <filename>pg_hba.conf</filename>, restaurez-le à sa
configuration d'origine.
</para>
</step>

Expand Down
25 changes: 9 additions & 16 deletions postgresql/regress.xml
Original file line number Diff line number Diff line change
Expand Up @@ -55,22 +55,15 @@

<warning>
<para>
Cette méthode démarre un serveur temporaire configuré pour accepter toute
connexion provenant de la machine locale. Tout utilisateur local peut
récupérer l'attribut superutilisateur en se connectant à ce serveur et
peut, en principe, exploiter tous les droits de l'utilisateur au niveau
système d'exploitation qui exécute ces tests. De ce fait, il n'est pas
recommandé d'utiliser <literal>gmake check</literal> sur des machines
partagées avec des utilisateurs non sûrs. À la place, exécutez les tests
après l'installation, comme décrit dans la section suivante.
</para>

<para>
Sur les machines Unix, ce danger peut être évité si le fichier de la socket
du serveur temporaire n'est pas accessible aux autres utilisateurs. Cela
arrive par exemple en exécutant les tests dans une prison (chroot). Sur
Windows, le serveur temporaire ouvre une socket TCP accessible en local,
donc les protections au niveau du système de fichiers ne peuvent pas aider.
Sur les systèmes ne disposant pas de sockets de domaine Unix, la méthode de
tests démarre un serveur temporaire configuré pour accepter toute connexion
provenant de la machine locale. Tout utilisateur local peut obtenir les
droits superutilisateur de la base de données en se connectant à ce serveur
et pourrait en principe exploiter tous les droits de l'utilisateur du système
d'exploitation exécutant les tests. De ce fait, il n'est pas recommandé
d'utiliser <literal>gmake check</literal> sur un système partagé avec
d'autres utilisateurs. À la place, lancez les tests après avoir terminé
l'installation, comme indiqué dans la section suivante.
</para>
</warning>

Expand Down

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