Mise à jour en version 15.3

postgresql/Makefile

@@ -39,11 +39,15 @@ endif
 
 XMLINCLUDE = --path .
 
-ifndef XMLLINT
+ifdef XMLLINT
+XMLLINT := $(XMLLINT) --nonet
+else
 XMLLINT = $(missing) xmllint
 endif
-
-ifndef XSLTPROC
+
+ifdef XSLTPROC
+XSLTPROC := $(XSLTPROC) --nonet
+else
 XSLTPROC = $(missing) xsltproc
 endif
 

postgresql/arch-dev.xml

@@ -545,14 +545,14 @@
   </para>
 
   <para>
-   Le mécanisme de l'exécuteur est utilisé pour évaluer les quatre types de
+   Le mécanisme de l'exécuteur est utilisé pour évaluer les cinq types de
    requêtes de base en SQL&nbsp;: <command>SELECT</command>,
-   <command>INSERT</command>, <command>UPDATE</command> et
-   <command>DELETE</command>. Pour <command>SELECT</command>, le code de
+   <command>INSERT</command>, <command>UPDATE</command>,
+   <command>DELETE</command> et <command>MERGE</command>. Pour <command>SELECT</command>, le code de
    l'exécuteur de plus haut niveau a uniquement besoin d'envoyer chaque ligne
    retournée par l'arbre plan de la requête vers le client. <command>INSERT
-   ... SELECT</command>, <command>UPDATE</command>, and
-   <command>DELETE</command> sont en réalité des <command>SELECT</command>
+   ... SELECT</command>, <command>UPDATE</command>,
+   <command>DELETE</command> et <command>MERGE</command> sont en réalité des <command>SELECT</command>
    sous un nœud de plan haut niveau appelé <literal>ModifyTable</literal>.
   </para>
 
@@ -569,6 +569,12 @@
    réellement renvoyée par le plan est le TID, et le nœud
    <literal>ModifyTable</literal> utilise simplement le TID pour visiter
    chaque ligne cible et la marquer supprimée.
+   Pour <command>MERGE</command>, l'optimiseur joint les relations source et
+   cible, et inclut toutes les valeurs de colonne requises par chaque clause
+   <literal>WHEN</literal>, plus le TID de la ligne cible&nbsp;; cette donnée
+   est fournie au n&oelig;ud <literal>ModifyTable</literal> qui utilise
+   l'information pour trouver la clause <literal>WHEN</literal> à exécuter, puis
+   insère, met à jour ou supprime la ligne cible, suivant le besoin exprimé.
   </para>
 
   <para>

postgresql/brin.xml

@@ -1240,6 +1240,10 @@ typedef struct BrinOpcInfo
       <entry>Procédure support 4</entry>
       <entry>Fonction interne <function>brin_bloom_union()</function></entry>
      </row>
+     <row>
+      <entry>Fonction de support 5</entry>
+      <entry>fonction interne <function>brin_bloom_options()</function></entry>
+     </row>
      <row>
       <entry>Procédure support 11</entry>
       <entry>Fonction pour calculer le hachage d'un élément</entry>
@@ -1299,6 +1303,10 @@ typedef struct BrinOpcInfo
       <entry>Procédure support 4</entry>
       <entry>Fonction interne <function>brin_minmax_multi_union()</function></entry>
      </row>
+     <row>
+      <entry>Fonction de support 5</entry>
+      <entry>Fonction interne <function>brin_minmax_multi_options()</function></entry>
+     </row>
      <row>
       <entry>Procédure support 11</entry>
       <entry>Fonction de calcul de distance entre deux valeurs (longueur d'un intervalle)</entry>

postgresql/datatype.xml

@@ -1509,7 +1509,12 @@ SELECT b, char_length(b) FROM test2;
    <para>
     Exemple&nbsp;:
 <programlisting>
-SELECT '\xDEADBEEF';
+SET bytea_output = 'hex';
+
+SELECT '\xDEADBEEF'::bytea;
+   bytea
+------------
+ \xdeadbeef
     </programlisting>
    </para>
   </sect2>

postgresql/ddl.xml

@@ -1902,7 +1902,7 @@ ALTER TABLE produits ADD FOREIGN KEY (id_groupe_produit) REFERENCES groupes_prod
        objet utilisable comme une table. Permet aussi l'utilisation de
        <command>COPY TO</command>. Ce droit est aussi nécessaire pour
        référencer les valeurs actuelles d'une colonne dans
-       <command>UPDATE</command> ou <command>DELETE</command>. Pour les
+       <command>UPDATE</command>, <command>DELETE</command> ou <command>MERGE</command>. Pour les
        séquences, ce droit permet aussi d'utiliser la fonction
        <function>currval</function>. Pour les «&nbsp;Large Objects&nbsp;», ce
        droit permet de lire l'objet binaire.
@@ -2703,7 +2703,7 @@ postgres=&gt; table passwd;
 postgres=&gt; set role alice;
 SET
 postgres=&gt; table passwd;
-ERROR:  permission denied for relation passwd
+ERROR:  permission denied for table passwd
 postgres=&gt; select user_name,real_name,home_phone,extra_info,home_dir,shell from passwd;
  user_name | real_name |  home_phone  | extra_info | home_dir    |   shell
 -----------+-----------+--------------+------------+-------------+-----------
@@ -2713,7 +2713,7 @@ postgres=&gt; select user_name,real_name,home_phone,extra_info,home_dir,shell fr
 (3 rows)
 
 postgres=&gt; update passwd set user_name = 'joe';
-ERROR:  permission denied for relation passwd
+ERROR:  permission denied for table passwd
 -- Alice est autorisée à modifier son propre nom (real_name), mais pas celui des autres
 postgres=&gt; update passwd set real_name = 'Alice Doe';
 UPDATE 1
@@ -2722,9 +2722,9 @@ UPDATE 0
 postgres=&gt; update passwd set shell = '/bin/xx';
 ERROR:  new row violates WITH CHECK OPTION for "passwd"
 postgres=&gt; delete from passwd;
-ERROR:  permission denied for relation passwd
+ERROR:  permission denied for table passwd
 postgres=&gt; insert into passwd (user_name) values ('xxx');
-ERROR:  permission denied for relation passwd
+ERROR:  permission denied for table passwd
 -- Alice peut modifier son propre mot de passe; RLS empêche silencieusement la mise à jour d'autres lignes
 postgres=&gt; update passwd set pwhash = 'abc';
 UPDATE 1</programlisting>
@@ -4002,11 +4002,6 @@ VALUES ('Albany', NULL, NULL, 'NY');</programlisting>
     PARTITION</command>.
    </para>
 
-   <para>
-    La commande <command>ATTACH PARTITION</command> prend un verrou
-    <literal>SHARE UPDATE EXCLUSIVE</literal> sur la table partitionnée.
-   </para>
-
    <para>
     Les partitions peuvent également être des <link
     linkend="ddl-foreign-data">tables étrangères</link>, mais il faut faire très
@@ -4248,10 +4243,16 @@ ALTER TABLE measurement DETACH PARTITION measurement_y2006m02 CONCURRENTLY;</pro
     TABLESPACE fasttablespace;</programlisting>
 
      De manière alternative, il est parfois plus pratique de créer la nouvelle
-     table en dehors de la structure partitionnée, et d'en faire une
+     table en dehors de la structure partitionnée, et de l'attacher comme
      partition plus tard.  Cela permet de charger de nouvelles données, de
      les vérifier et d'y effectuer des transformations avant que les données
-     apparaissent dans la table partitionnée. L'option <literal>CREATE TABLE
+     apparaissent dans la table partitionnée. De plus, l'opération
+     <literal>ATTACH PARTITION</literal> ne requiert que le verrou
+     <literal>SHARE UPDATE EXCLUSIVE</literal> sur la table partitionnée
+     contrairement au verrou <literal>ACCESS EXCLUSIVE</literal> qui est
+     nécessaire pour <command>CREATE TABLE ... PARTITION OF</command>, donc
+     cette opération est préférable sur la table partitionnée.
+     L'option <literal>CREATE TABLE
      ... LIKE</literal> est utile pour éviter de répéter à chaque fois la
      définition de la table parent&nbsp;:
 

postgresql/docguide.xml

@@ -140,7 +140,8 @@
      <listitem>
       <para>
        Il s'agit d'un programme pour convertir, entre autres choses, du XML
-       vers du PDF.
+       vers du PDF. Il est uniquement nécessaire si vous voulez construire la
+       documentation au format PDF.
       </para>
      </listitem>
     </varlistentry>
@@ -157,25 +158,13 @@
    documentation, afin d'inclure ces informations ici-même.
   </para>
 
-  <para>
-   Vous pouvez vous en sortir en n'installant ni DocBook XML ni les feuilles
-   de style DocBook XSLT localement, puisque les fichiers nécessaires seront
-   téléchargé par Internet et mis en cache localement.  Cela pourrait en fait
-   être la solution préférable si les paquets de votre système d'exploitation
-   ne fournissent qu'une version ancienne de ces fichiers ou si aucun paquet
-   n'est disponible. Si vous voulez empêcher toute tentative d'accàs à
-   Internet lors de la construction de la documentation, vous devrez passer
-   l'option <option>--nonet</option> à <command>xmllint</command> et
-   <command>xsltproc</command>&nbsp;; voir ci-dessous pour un exemple.
-  </para>
-
   <sect2>
    <title>Installation sur Fedora, RHEL et dérivés</title>
 
    <para>
     Pour installer les packages requis, lancez&nbsp;:
     <programlisting>
-yum install docbook-dtds docbook-style-xsl fop libxslt
+yum install docbook-dtds docbook-style-xsl libxslt fop
     </programlisting>
    </para>
   </sect2>
@@ -186,7 +175,7 @@ yum install docbook-dtds docbook-style-xsl fop libxslt
    <para>
     Pour installer les paquets requis avec <command>pkg</command>, utiliser :
     <programlisting>
-pkg install docbook-xml docbook-xsl fop libxslt
+pkg install docbook-xml docbook-xsl libxslt fop
     </programlisting>
    </para>
 
@@ -205,7 +194,7 @@ pkg install docbook-xml docbook-xsl fop libxslt
     Un ensemble complet de paquetages d'outils de documentation est
     disponible pour <productname>Debian GNU/Linux</productname>.
     Pour l'installer, il suffit de taper&nbsp;:
-    <programlisting>apt-get install docbook-xml docbook-xsl fop libxml2-utils xsltproc
+    <programlisting>apt-get install docbook-xml docbook-xsl libxml2-utils xsltproc fop
     </programlisting>
    </para>
   </sect2>
@@ -214,22 +203,42 @@ pkg install docbook-xml docbook-xsl fop libxslt
    <title>macOS</title>
 
    <para>
-    Sur macOS, vous pouvez construire la documentation HTML et man sans
-    installation supplémentaire. Si vous voulez construire les PDF ou si vous
-    voulez installer une copie locale de DocBook, vous pouvez les obtenir de
-    votre gestionnaire de paquets préféré.
+    Si vous utilisez MacPorts, les commandes suivantes vous aideront à la
+    configuration du système&nbsp;:
+<programlisting>
+sudo port install docbook-xml docbook-xsl-nons libxslt fop
+</programlisting>
+    Si vous utilisez Homebrew, utilisez plutôt ceci&nbsp;:
+<programlisting>
+brew install docbook docbook-xsl libxslt fop
+</programlisting>
    </para>
 
    <para>
-    Si vous utilisez MacPorts, voici comment configurer cela&nbsp;:
-    <programlisting>
-sudo port install docbook-xml-4.5 docbook-xsl fop
-    </programlisting>
-    Si vous utilisez Homebrew, utilisez ceci&nbsp;:
-    <programlisting>
-brew install docbook docbook-xsl fop
+    Le programme fourni par Homebrew requiert la configuration de la variable
+    d'environnement suivante&nbsp;:
+<programlisting>
+export XML_CATALOG_FILES=/usr/local/etc/xml/catalog
+</programlisting>
+    Sur les machines Apple Silicon, utilisez ceci&nbsp;:
+<programlisting>
+export XML_CATALOG_FILES=/opt/homebrew/etc/xml/catalog
+</programlisting>
+    Sans cela, <command>xsltproc</command> renverra ce genre d'erreurs&nbsp;:
+<programlisting>
+I/O error : Attempt to load network entity http://www.oasis-open.org/docbook/xml/4.5/docbookx.dtd
+postgres.sgml:21: warning: failed to load external entity "http://www.oasis-open.org/docbook/xml/4.5/docbookx.dtd"
+...
     </programlisting>
    </para>
+
+   <para>
+    Alors qu'il est possible d'utiliser les versions fournies par Apple de
+    <command>xmllint</command> et <command>xsltproc</command> à la place de
+    celles fournies par MacPorts ou Homebrew, vous aurez toujours besoin
+    d'installer les DTD et feuilles de style DocBook, et de configurer un
+    fichier catalogue qui pointe vers eux.
+   </para>
   </sect2>
 
   <sect2>
@@ -368,12 +377,6 @@ checking for dbtoepub... dbtoepub</computeroutput></screen>
    trouver ces programmes, par exemple
 <screen>
 ./configure ... XMLLINT=/opt/local/bin/xmllint ...
-</screen>
-   De plus, si vous voulez vous assurer que <filename>xmllint</filename> et
-   <filename>xsltproc</filename> ne réaliseront aucun accès réseau, vous
-   pouvez le faire ainsi
-<screen>
-./configure ... XMLLINT="xmllint --nonet" XSLTPROC="xsltproc --nonet" ...
 </screen>
   </para>
   </sect2>

postgresql/func.xml

@@ -9953,11 +9953,11 @@ SELECT timestamp with time zone '2005-04-02 12:00:00-07' + interval '24 hours';
  <screen>
 SELECT EXTRACT(EPOCH FROM timestamptz '2013-07-01 12:00:00') -
        EXTRACT(EPOCH FROM timestamptz '2013-03-01 12:00:00');
-<lineannotation>Résultat : </lineannotation><computeroutput>10537200</computeroutput>
+<lineannotation>Résultat : </lineannotation><computeroutput>10537200.000000</computeroutput>
 SELECT (EXTRACT(EPOCH FROM timestamptz '2013-07-01 12:00:00') -
         EXTRACT(EPOCH FROM timestamptz '2013-03-01 12:00:00'))
         / 60 / 60 / 24;
-<lineannotation>Résultat : </lineannotation><computeroutput>121.958333333333</computeroutput>
+<lineannotation>Résultat : </lineannotation><computeroutput>121.9583333333333333</computeroutput>
 SELECT timestamptz '2013-07-01 12:00:00' - timestamptz '2013-03-01 12:00:00';
 <lineannotation>Résultat : </lineannotation><computeroutput>121 days 23:00:00</computeroutput>
 SELECT age(timestamptz '2013-07-01 12:00:00', timestamptz '2013-03-01 12:00:00');
@@ -10103,13 +10103,13 @@ SELECT EXTRACT(DOY FROM TIMESTAMP '2001-02-16 20:38:40');
 
       <screen>
 SELECT EXTRACT(EPOCH FROM TIMESTAMP WITH TIME ZONE '2001-02-16 20:38:40.12-08');
-<lineannotation>Résultat : </lineannotation><computeroutput>982384720.12</computeroutput>
+<lineannotation>Résultat : </lineannotation><computeroutput>982384720.120000</computeroutput>
 
 SELECT EXTRACT(EPOCH FROM TIMESTAMP '2001-02-16 20:38:40.12');
-<lineannotation>Résultat : </lineannotation><computeroutput>982355920.12</computeroutput>
+<lineannotation>Résultat : </lineannotation><computeroutput>982355920.120000</computeroutput>
 
 SELECT EXTRACT(EPOCH FROM INTERVAL '5 days 3 hours');
-<lineannotation>Résultat : </lineannotation><computeroutput>442800</computeroutput>
+<lineannotation>Résultat : </lineannotation><computeroutput>4428000000</computeroutput>
       </screen>
 
       <para>
@@ -10258,7 +10258,7 @@ SELECT EXTRACT(MILLENNIUM FROM TIMESTAMP '2001-02-16 20:38:40');
 
       <screen>
 SELECT EXTRACT(MILLISECONDS FROM TIME '17:12:28.5');
-<lineannotation>Résultat : </lineannotation><computeroutput>28500</computeroutput>
+<lineannotation>Résultat : </lineannotation><computeroutput>28500.000</computeroutput>
       </screen>
      </listitem>
     </varlistentry>
@@ -10322,10 +10322,10 @@ SELECT EXTRACT(QUARTER FROM TIMESTAMP '2001-02-16 20:38:40');
 
       <screen>
 SELECT EXTRACT(SECOND FROM TIMESTAMP '2001-02-16 20:38:40');
-<lineannotation>Résultat : </lineannotation><computeroutput>40</computeroutput>
+<lineannotation>Résultat : </lineannotation><computeroutput>40.000000</computeroutput>
 
 SELECT EXTRACT(SECOND FROM TIME '17:12:28.5');
-<lineannotation>Résultat : </lineannotation><computeroutput>28.5</computeroutput>
+<lineannotation>Résultat : </lineannotation><computeroutput>28.500000</computeroutput>
       </screen>
      </listitem>
     </varlistentry>
@@ -27229,7 +27229,7 @@ postgres=# SELECT * FROM pg_walfile_name_offset((pg_backup_stop()).lsn);
      </para>
      <para>
       Convertit une taille indiquée en octets dans un format plus facilement
-      lisible par un humain avec des unités (bytes, kB, MB, GB ou TB suivant
+      lisible par un humain avec des unités (bytes, kB, MB, GB, TB ou PB suivant
       le cas). Notez que les unités sont des puissances de 2, plutôt que des
       puissances de 10, donc 1kB vaut 1024 octets,
       1MB vaut 1024<superscript>2</superscript> = 1048576 octets, et ainsi

postgresql/high-availability.xml

@@ -1728,8 +1728,8 @@ synchronous_standby_names = 'FIRST 2 (s1, s2, s3)'
      <listitem>
       <para>
        Langage de Manipulation de Données (LMD ou DML)&nbsp;: <command>INSERT</command>,
-       <command>UPDATE</command>, <command>DELETE</command>, <command>COPY FROM</command>,
-       <command>TRUNCATE</command>.
+       <command>UPDATE</command>, <command>DELETE</command>, <command>MERGE</command>,
+       <command>COPY FROM</command>, <command>TRUNCATE</command>.
        Notez qu'il n'y a pas d'action autorisée qui entraînerait l'exécution d'un
        trigger pendant la récupération. Cette restriction s'applique même pour
        les tables temporaires car les lignes de ces tables ne peuvent être

postgresql/indices.xml

@@ -682,15 +682,19 @@ CREATE INDEX test3_desc_index ON test3 (id DESC NULLS LAST);
    Les index peuvent aussi être utilisés pour garantir l'unicité des
    valeurs d'une colonne, ou l'unicité des valeurs combinées de plusieurs
    colonnes.
-   <synopsis>CREATE UNIQUE INDEX <replaceable>nom</replaceable> ON <replaceable>table</replaceable> (<replaceable>colonne</replaceable> <optional>, ...</optional>);</synopsis>
+   <synopsis>CREATE UNIQUE INDEX <replaceable>nom</replaceable> ON <replaceable>table</replaceable> (<replaceable>colonne</replaceable> <optional>, ...</optional>) <optional> NULLS <optional> NOT </optional>optional> DISTINCT </optional>;</synopsis>
    À ce jour, seuls les index B-tree peuvent être déclarés uniques.
   </para>
 
   <para>
    Lorsqu'un index est déclaré unique, il ne peut exister plusieurs lignes
-   d'une table qui possèdent la même valeur indexée. Les valeurs NULL ne sont pas
-   considérées comme égales. Un index d'unicité multicolonne ne rejette que les
-   cas où toutes les colonnes indexées sont égales sur plusieurs lignes.
+   d'une table qui possèdent la même valeur indexée. Par défaut, les valeurs
+   NULL dans une colonne d'unicité ne sont pas considérées comme égales,
+   permettant ainsi plusieurs valeurs NULL dans la colonne. L'option
+   <literal>NULLS NOT DISTINCT</literal> modifie ceci et fait que l'index
+   traite les valeurs NULL comme identiques. Un index d'unicité multicolonne
+   ne rejette que les cas où toutes les colonnes indexées sont égales sur
+   plusieurs lignes.
   </para>
 
   <para>

postgresql/libpq.xml

@@ -8787,7 +8787,9 @@ ldap://ldap.mycompany.com/dc=mycompany,dc=com?description?one?(cn=mydatabase)
     <literal>libssl</literal> et/ou <literal>libcrypto</literal> ont été
     initialisées par votre application, de façon à ce que
     <application>libpq</application> n'initialise pas elle aussi ces
-    bibliothèques.
+    bibliothèques. Néanmoins, ceci n'est pas nécessaire lors de l'utilisation
+    d'<productname>OpenSSL</productname> version 1.1.0 ou supérieure, car les
+    initialisations dupliquées ne sont plus problématiques.
    </para>
 
    <para>

postgresql/ltree.xml

@@ -661,8 +661,9 @@ a.  b.     c.      d.                   e.
     <para>
      La classe d'opérateur GiST <literal>gist_ltree_ops</literal> effectue une
      approximation sur un ensemble de chemins de labels sous format de
-     signature bitmap. La taille de la signature par défaut est 8 octets. Les
-     valeurs valides de taille de signature sont entre 1 et 2024 octets.
+     signature bitmap. La taille de la signature par défaut est 8 octets.
+     La longueur doit être un multiple positif de l'alignement d'un type
+     <type>int</type> (4 octets sur la plupart des most machines) jusqu'à 2024.
      Des tailles de signatures plus longues permettent une recherche plus précise (en
      parcourant une fraction plus petite de l'index et moins de pages heap), au coût
      d'un plus large index.