Mise à jour en version 11.15

postgresql/config.xml

@@ -1341,7 +1341,7 @@ include 'nom_fichier'
     </indexterm>
     <para>
      Indique le nom du fichier contenant la liste de révocation de certificat
-     SSL serveur (CRL).
+     SSL client (CRL).
      Les chemins relatifs sont relatifs par rapport au répertoire de données.
      Ce paramètre peut uniquement être modifié dans le fichier
      <filename>postgresql.conf</filename> ou indiqué sur la ligne de commande.

postgresql/datetime.xml

@@ -229,26 +229,24 @@
    De la même façon, prenons en considération ce comportement lors d'une
    transition en arrière :
    <programlisting>
-=&gt; SELECT '2018-11-04 02:30'::timestamptz;
+=&gt; SELECT '2018-11-04 01:30'::timestamptz;
       timestamptz
 ------------------------
- 2018-11-04 02:30:00-05
+ 2018-11-04 01:30:00-05
 (1 row)
    </programlisting>
-   À cette date, il existe deux interprétations possibles de 2:30AM&nbsp;;
-   soit 2:30AM EDT, soit une heure après la transition, 2:30AM EST.
+   À cette date, il existe deux interprétations possibles de 1:30AM&nbsp;;
+   soit 1:30AM EDT, soit une heure après la transition, 1:30AM EST.
    De nouveau, <productname>PostgreSQL</productname> interprète l'heure donnée
-   comme s'il s'agissait de l'heure standard (UTC-5). Nous ouvons forcer
-   l'interprétation en spécifiant le temps et sa règle de conversion&nbsp;:
+   comme s'il s'agissait de l'heure standard (UTC-5). Nous pouvons forcer
+   l'autre interprétation en spécifiant le temps et sa règle de conversion&nbsp;:
    <programlisting>
-=&gt; SELECT '2018-11-04 02:30 EDT'::timestamptz;
+=&gt; SELECT '2018-11-04 01:30 EDT'::timestamptz;
       timestamptz
 ------------------------
- 2018-11-04 01:30:00-05
+ 2018-11-04 01:30:00-04
 (1 row)
    </programlisting>
-   Cet horodatage peut être interprété soit comme 2:30 UTC-4 soit comme
-   1:30 UTC-5&nbsp;; le code de sortie de l'horodatage a choisi ce dernier.
   </para>
 
   <para>

postgresql/ddl.xml

@@ -3130,7 +3130,7 @@ VALUES ('Albany', NULL, NULL, 'NY');</programlisting>
 
    <para>
     Les partitions peuvent elles-mêmes être définies comme des tables
-    partitionnées, cequi aboutirait à du
+    partitionnées, ce qui aboutirait à du
     <firstterm>sous-partitionnement</firstterm>. Bien que toutes les
     partitions doivent avoir les mêmes clonnes que leur parent partitionné, es
     partitions peuvent avoir leurs propres index, contraintes et valeurs par
@@ -3152,9 +3152,12 @@ VALUES ('Albany', NULL, NULL, 'NY');</programlisting>
    </para>
 
    <para>
-    Les partitions peuvent également être des tables étrangères, bien que ce cas ait des
-    limitations qui n'existent pas avec des tables normales&nbsp;; see <xref linkend="sql-createforeigntable"/> for
-    more information.
+    Les partitions peuvent également être des <link
+    linkend="ddl-foreign-data">tables étrangères</link>, mais il faut faire très
+    attention car c'est de la responsabilité de l'utilisateur que le contenu de
+    la table distante satisfasse la clé de partitionnement. Il existe aussi
+    d'autres restrictions. Voir <xref linkend="sql-createforeigntable"/> pour
+    plus d'informations.
    </para>
 
    <sect3 id="ddl-partitioning-declarative-example">

postgresql/func.xml

@@ -12770,25 +12770,6 @@ pour trouver <literal>foo</literal></lineannotation></programlisting>
    la page de référence de la commande pour plus d'informations.
   </para>
 
-  <important>
-   <para>
-    Pour éviter le blocage de transactions concurrentes qui obtiennent des
-    nombres de la même séquence, une opération <function>nextval</function>
-    n'est jamais annulée&nbsp;; c'est-à-dire qu'une fois la valeur
-    récupérée, elle est considérée comme utilisée et ne sera jamais renvoyée de
-    nouveau. Cela est vrai même si la transaction appelante finit par demander
-    son annulation ou si la requête appelante finit par ne pas utiliser la
-    valeur. Par exemple, un <command>INSERT</command> doté d'une clause
-    <literal>ON CONFLICT</literal> traitera la ligne à insérer, en incluant
-    tout appel requis à <function>nextval</function> avant de détecter un
-    conflit qui déclenchera la règle <literal>ON CONFLICT</literal>. De tels
-    cas laisseront des valeurs inutilisées (des trous) dans la séquence de
-    valeurs utilisées. De ce fait, les séquences proposées par
-    <productname>PostgreSQL</productname> <emphasis>ne peuvent pas être
-    utilisées pour obtenir des séquences <quote>sans trou</quote></emphasis>.
-   </para>
-  </important>
-
        <para>
         Cette fonction nécessite le privilège <literal>USAGE</literal> ou
         <literal>UPDATE</literal> sur la séquence.
@@ -12865,13 +12846,6 @@ SELECT setval('foo', 42, false);    <lineannotation>Le <function>nextval</functi
         Le résultat renvoyé par <function>setval</function> est la valeur
         du second argument.
        </para>
-       <important>
-        <para>
-         Comme les séquences sont non transactionnelles, les modifications
-         réalisées par <function>setval</function> ne sont pas annulées si la
-         transaction est annulée.
-        </para>
-       </important>
 
        <para>
         Cette fonction nécessite le privilège <literal>UPDATE</literal> sur la
@@ -12882,27 +12856,45 @@ SELECT setval('foo', 42, false);    <lineannotation>Le <function>nextval</functi
     </variablelist>
   </para>
 
-  <para>
-   Si un objet séquence a été créé avec les paramètres par défaut, les
-   appels à <function>nextval</function> sur celui-ci renvoient des valeurs
-   successives à partir de 1. D'autres comportements peuvent être obtenus en
-   utilisant des paramètres spéciaux de la commande <xref
-   linkend="sql-createsequence"/>&nbsp;; voir
-   la page de référence de la commande pour plus d'informations.
-  </para>
+  <caution>
+   <para>
+    Pour éviter le blocage de transactions concurrentes pour l'obtention de
+    nombres provenant de la même séquence, la valeur obtenue par
+    <function>nextval</function> n'est pas réclamée pour une ré-utilisation si
+    la transaction appelante s'annule après coup. Ceci signifie que des
+    annulations de transaction ou des crashs de bases de données peuvent avoir
+    pour conséquence des trous dans la séquence des valeurs affectées.  Ceci
+    peut aussi survenir sans annulation de transaction. Par exemple, un
+    <command>INSERT</command> avec une clause <literal>ON CONFLICT</literal>
+    calculera la ligne à insérer, incluant tout appel nécessaire à
+    <function>nextval</function>, avant de détecter un conflit qui causera la
+    poursuite sur la règle <literal>ON CONFLICT</literal>. De ce fait, les
+    objets séquences de <productname>PostgreSQL</productname> <emphasis>ne
+    peuvent pas être utilisées pour obtenir des séquences <quote>sans
+    trou</quote> </emphasis>.
+   </para>
 
-  <important>
    <para>
-    Pour éviter le blocage de transactions concurrentes qui obtiennent des
-    nombres de la même séquence, une opération <function>nextval</function>
-    n'est jamais annulée&nbsp;; c'est-à-dire qu'une fois la valeur
-    récupérée, elle est considérée comme utilisée, même si la transaction qui exécute
-    <function>nextval</function> avorte par la suite. Cela signifie que les transactions
-    annulées peuvent laisser des <quote>trous</quote> inutilisés dans la
-    séquence des valeurs assignées. Les opérations <function>setval</function>
-    ne sont jamais annulées non plus.
+    De la même façon, les changements d'état de séquence réalisées par
+    <function>setval</function> sont immédiatement visibles aux autres
+    transactions, et ne sont pas annulées si la transaction appelante annule ses
+    modifications.
    </para>
-  </important>
+
+   <para>
+    Si l'instance s'arrête brutalement avant de valider une transaction ayant
+    exécuté un appel à <function>nextval</function> ou
+    <function>setval</function>, le changement d'état de la séquence pourrait ne
+    pas arriver jusqu'au stockage permanent, donc l'état de la séquence n'est
+    pas certain, uqil soit à sa valeur d'originie ou à sa nouvelle valeur après
+    le redémarrage de l'instance.  Ceci n'est pas grave pour l'utilisation de la
+    séquence dans la base car les autres effets des transactions non valides ne
+    seront pas visibles. Néanmoins, si vous souhaitez utiliser une valeur de
+    séquence pour un stockage persistant hors de la base, assurez-vous que
+    l'appel à <function>nextval</function> soit validé avant de l'utiliser
+    hors base.
+   </para>
+  </caution>
 
  </sect1>
 
@@ -20176,7 +20168,7 @@ off
        <entry>
         Recherche une origine de réplication par son nom et renvoie
         son identifiant interne. S'il n'existe pas d'origine de réplication
-        correspondante, une erreur est levée.
+        correspondante, <literal>NULL</literal> est levée.
        </entry>
       </row>
 

postgresql/high-availability.xml

@@ -9,7 +9,6 @@
  <indexterm><primary>clustering</primary></indexterm>
  <indexterm><primary>partitionnement de données</primary></indexterm>
 
- <!-- seamlessly ? -->
  <para>
   Des serveurs de bases de données peuvent travailler ensemble pour permettre
   à un serveur standby de prendre rapidement la main si le serveur principal

postgresql/indices.xml

@@ -735,7 +735,7 @@ CREATE INDEX test3_desc_index ON test3 (id DESC NULLS LAST);
 
   <para>
    Les expressions d'index sont relativement coûteuses à calculer car
-   l'expression doit être recalculée à chaque insertion ou mise à jour de
+   l'expression doit être recalculée à chaque insertion ou mise à jour (non HOT) de
    ligne. Néanmoins, les expressions d'index ne sont
    <emphasis>pas</emphasis> recalculées lors d'une recherche par index car elles sont
    déjà stockés dans l'index. Dans les deux exemples ci-dessus, le système

postgresql/install-windows.xml

@@ -21,10 +21,10 @@
   Il existe différentes façons de construire PostgreSQL sur
   <productname>Windows</productname>. La façon la plus simple de le faire est
   d'utiliser les outils Microsoft. Pour cela, il faut installer une version
-  supportée de <productname>Visual Studio 2019</productname>
+  supportée de <productname>Visual Studio 2022</productname>
   et utiliser le compilateur inclus. Il est aussi
   possible de construire PostgreSQL avec <productname>Microsoft Visual C++
-   2005 à 2019</productname>. Dans certains cas, il faut installer le
+  2005 à 2022</productname>. Dans certains cas, il faut installer le
   <productname>Windows SDK</productname> en plus du compilateur.
  </para>
 
@@ -75,7 +75,7 @@
     SDK</productname>. Si vous n'avez pas déjà un environnement
    <productname>Visual Studio</productname> configuré, le plus simple est
    d'utiliser les compilateurs disponibles dans <productname>Visual Studio
-    2019</productname> ou ceux fournis dans le
+    2022</productname> ou ceux fournis dans le
    <productname>Windows SDK 10</productname>, qui sont tous disponibles en
    téléchargement libre sur le site de Microsoft.
   </para>
@@ -84,7 +84,7 @@
    Les constructions 32 bits et 64 bits sont possibles avec la suite Microsoft
    Compiler. Les constructions 32 bits sont possibles avec
    <productname>Visual Studio 2005</productname> jusqu'à
-   <productname>Visual Studio 2019</productname>,
+   <productname>Visual Studio 2022</productname>,
    ainsi que les versions autonomes Windows SDK, de la version 6.0 à
    la version 10. Les constructions 64 bits sont supportées avec
    <productname>Microsoft Windows SDK</productname>, de la version 6.0a à la
@@ -96,7 +96,7 @@
    <productname>Visual Studio 2015</productname> est supportée depuis
    <productname>Windows Vista</productname> et <productname>Windows Server
     2008</productname>. Construire avec <productname>Visual Studio
-    2017</productname> et <productname>Visual Studio 2019</productname> est
+    2017</productname> jusqu'à <productname>Visual Studio 2022</productname> est
    supportée jusqu'à la version  <productname>Windows 7
     SP1</productname> et <productname>Windows Server 2008 R2 SP1</productname>.
   </para>
@@ -529,6 +529,41 @@ $ENV{MSBFLAGS}="/m";
     </varlistentry>
    </variablelist>
   </para>
+
+  <para>
+   Certains des tests TAP dépendent d'un ensemble de commandes externes qui
+   pourraient, en option, déclencher des tests de trigger en relation.  Chacune
+   de ces variables peuvent être initialisées ou désinitialisées dans le fichier
+   <filename>buildenv.pl</filename>&nbsp;:
+   <variablelist>
+    <varlistentry>
+     <term><varname>GZIP_PROGRAM</varname></term>
+     <listitem><para>
+      Chemin vers une commande <application>gzip</application>. La valeur par
+      défaut est <literal>gzip</literal>, qui serait la commande trouvée dans le
+      <varname>PATH</varname>.
+     </para></listitem>
+    </varlistentry>
+
+    <varlistentry>
+     <term><varname>LZ4</varname></term>
+     <listitem><para>
+      Chemin vers une commande <application>lz4</application>. La valeur par
+      défaut est <literal>lz4</literal>, qui serait la commande trouvée dans le
+      <varname>PATH</varname>.
+     </para></listitem>
+    </varlistentry>
+
+    <varlistentry>
+     <term><varname>TAR</varname></term>
+     <listitem><para>
+      Chemin vers une commande <application>tar</application>. La valeur par
+      défaut est <literal>tar</literal>, qui serait la commande trouvée dans le
+      <varname>PATH</varname>.
+     </para></listitem>
+    </varlistentry>
+   </variablelist>
+  </para>
   </sect2>
 
   <sect2>

postgresql/installation.xml

@@ -184,9 +184,9 @@ su - postgres
       Pour compiler le langage de programmation serveur <application>PL/Python</application>,
       il faut que <productname>Python</productname> soit installé avec les
       fichiers d'en-tête et le module <application>distutils</application>. La
-      version minimum requise est <productname>Python</productname> 2.4.
+      version minimum requise est <productname>Python</productname> 2.7.
       <productname>Python 3</productname> est supporté s'il s'agit d'une
-      version 3.1 ou ultérieure&nbsp;; voir la
+      version 3.2 ou ultérieure&nbsp;; voir la
       <xref linkend="plpython-python23"/>
       lors de l'utilisation de Python 3.
      </para>

postgresql/legal.xml

@@ -1,16 +1,16 @@
 <?xml version="1.0" encoding="UTF-8"?>
-<date>2021</date>
+<date>2022</date>
 
 <copyright>
- <year>1996-2021</year>
+ <year>1996-2022</year>
  <holder>The PostgreSQL Global Development Group</holder>
 </copyright>
 
 <legalnotice id="legalnotice">
  <title>Legal Notice</title>
 
  <para>
-  <productname>PostgreSQL</productname> is Copyright &copy; 1996-2021
+  <productname>PostgreSQL</productname> is Copyright &copy; 1996-2022
   by the PostgreSQL Global Development Group.
  </para>
 

postgresql/libpq.xml

@@ -1588,7 +1588,7 @@ typedef struct
       <listitem>
        <para>
         Ce paramètre indique le nom du fichier de la liste de révocation
-        du certificat SSL. Les certificats listés dans ce fichier, s'il
+        du certificat SSL serveur. Les certificats listés dans ce fichier, s'il
         existe, seront rejetés lors d'une tentative d'authentification
         avec le certificat du serveur. La valeur par défaut
         est <filename>~/.postgresql/root.crl</filename>.

postgresql/mvcc.xml

@@ -992,7 +992,8 @@ ERREUR:  n'a pas pu sérialiser un accès à cause d'une mise à jour en parall
       <para>
        Acquis par <command>VACUUM</command> (sans <option>FULL</option>),
        <command>ANALYZE</command>, <command>CREATE INDEX CONCURRENTLY</command>,
-       <command>CREATE STATISTICS</command> et <command>ALTER TABLE VALIDATE</command> et toutes les autres variantes
+       <command>CREATE STATISTICS</command>, <command>COMMENT ON</command> et
+       <command>ALTER TABLE VALIDATE</command> et toutes les autres variantes
        d'<command>ALTER TABLE</command> (pour plus de détail voir
        <xref linkend="sql-altertable"/>).
       </para>

postgresql/notation.xml

@@ -3,14 +3,14 @@
  <title>Conventions</title>
 
  <para>
-  Les conventions suivantes sont utilisées dans le synopsis d'une commande&nbsp;:
-  les crochets (<literal>[</literal> et <literal>]</literal>) indiquent des
-  parties optionnelles. (Dans le synopsis d'une commande Tcl, des points
-  d'interrogation (<literal>?</literal>) sont utilisés, comme c'est habituellement
-  le cas en Tcl.) Les accolades (<literal>{</literal> et
+  Les conventions suivantes sont utilisées dans le synopsis d'une
+  commande&nbsp;: les crochets (<literal>[</literal> et <literal>]</literal>)
+  indiquent des parties optionnelles. Les accolades (<literal>{</literal> et
   <literal>}</literal>) et les barres verticales (<literal>|</literal>)
   indiquent un choix entre plusieurs options. Les points de suspension
   (<literal>...</literal>) signifient que l'élément précédent peut être répété.
+  Tous les autres symboles, ceci incluant les parenthèses, devraient être
+  acceptés directement.
  </para>
 
  <para>

postgresql/plpython.xml

@@ -575,7 +575,7 @@ $$ LANGUAGE plpythonu;
   RETURNS valeur_nommee
 AS $$
   return ( nom, valeur )
-  # ou autrement, en tant que ligne : return [ nom, valeur ]
+  # ou autrement, en tant que liste : return [ nom, valeur ]
 $$ LANGUAGE plpythonu;
         </programlisting>
 

postgresql/pltcl.xml

@@ -329,8 +329,11 @@ $$ LANGUAGE pltcl;
   <title>Accès à la base de données depuis PL/Tcl</title>
 
   <para>
-   Les commandes suivantes sont disponibles pour accéder à la base de
-   données depuis le corps d'une fonction PL/Tcl&nbsp;:
+   Dans cette section, nous suivons la convention Tcl habituelle pour
+   l'utilisation des points d'interrogation, plutôt que les crochets, pour
+   indiquer un élément optionnel dans un synopsis de syntaxe.  Les commandes
+   suivantes sont disponibles pour accéder à la base de données depuis le corps
+   d'une fonction PL/Tcl&nbsp;:
 
    <variablelist>