date | ajouts | todo | |
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1 | 18 mars | +3 par pers. | lancement |
2 | 25 mars | +3 par pers. | principes, croquis, interfaces, références |
3 | 01 avril | +3 par pers. | prototype 1 |
4 | 08 avril | +3 par pers. | prototype 2 (fonctionel) |
5 | 22 avril | +3 par pers. | finalisation |
Premier | Dernier |
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Avant l’existence duquel il n’en existait pas d’autres. | Dans un ordre, celui après lequel il n’y en a pas d’autres. |
Sélectionner des événements qui signalent des premières et des dernières fois. Il peut s’agir de premier usage d’un objet, d’une découverte, de l’extinction d’une espèce, du premier homme à effectuer une ascension, etc.
Récolter documents qui attestent ou commentent l'événement (coupure de presse, citation, extrait audio ou vidéo, photographie, dessin…).
La base d’événements sera augmentée tout au long de l’atelier pour atteindre au minimum 150 éléments :
10 étudiants x 3 événements = 30 événements
30 événements x 5 séances = 150 événements
150 événements x 3 documents = 450 documents
Pour chaque événement, un dossier est créé. Dans ce dossier un fichier texte donne des informations de base sur l’événement (titre court, date, description…)
À la description sont ajoutés moins 3 documents. Chaque document est accompagné d’un fichier texte portant le même nom contenant des métadonnées (auteur, source, etc.).
structure type
formats de médias
- Les images seront au format JPG, PNG ou GIF à une résolution raisonnable (< 2500px)
- Les extraits vidéos (± 3 min) seront encodés en mp4 (h264)
- Les extraits sons (± 3 min) seront encodés en mp3
- Les fichiers de description (.md) devront utiliser la syntaxe markdown
- Les autres dans d'autres formats (pdf, doc, epub …) seront transformés en texte ou rasterisé.
éditeurs markdown
- mou
- sublime text
- stackedit.io
- iA Writer (payant)
partage des documents
divers
- graphviz (lecture des fichiers .dot)
- kibry (interpretation des données)
- downloadhelper (récupération de vidéos)
Proposer et réaliser un dispositif d’activation permettant d’explorer la base de connaissances.
Ce dispositif devra permettre une vision d’ensemble et un accès au détail de chacun des éléments référencés. Ces deux modes d’activation peuvent se répondre, se combiner ou faire l’objet de deux réponses distinctes. De même les derniers et les premiers peuvent être traités ensemble ou séparément.
Il peut prendre toute sorte de formes (vidéo, affichage, activation, site internet, application mobile, installation…), mais il intégrera la possibilité d’être mis à jour (au rythme de l’expansion de la base d’événements).
Enfin, quelle que soit la forme choisie, une documentation devra permettre d’en rendre compte en ligne.
- first word art last word art — Michael Naimark (2011)
à propos de l’atelier
La relative interopérabilité des éléments de la chaîne graphique permet de la penser d’une manière plus souple et libère de nouveaux espaces occupables par le design. Là où il fallait penser la mise en forme d’un contenu établi, c’est tout le flux, de sa captation à sa publication en temps réel, qu’il faut concevoir. Cette proposition de formuler un processus total ouvre à une pensée plus transversale.
Il s’agira de concevoir un dispositif graphique hybride par la définition de ses acteurs (intervenant, technique, enjeux théorique), les modalités d’activation (lieu, contexte, règles) et une documentation permettant sa réplicabilité. L’atelier visera à définir les possibles de tels dispositifs, leur influence sur les résultats et les comportements.